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Histoire
18 novembre 2025
Le Gouvernement Burkinabè et le Système des Nations Unies renforcent la consolidation de la paix à travers des investissements structurants dans les zones d’intervention.
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Histoire
03 novembre 2025
80ᵉ anniversaire des Nations Unies : Le Burkina Faso et l’ONU unis pour construire l’avenir ensemble
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02 octobre 2025
Former pour transformer : l’ONU Burkina Faso renforce les capacités sur l’intégration du genre dans sa programmation
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Les objectifs de développement durable au Burkina Faso
Les objectifs de développement durable (ODD), également appelés objectifs globaux, constituent un appel universel à l'action visant à éliminer la pauvreté, à protéger la planète et à garantir à tous les peuples la paix et la prospérité. Ce sont aussi les objectifs de l'ONU au Burkina Faso:
Publication
11 août 2025
Rapport Annuel 2024 des Nations Unies au Burkina Faso
En 2024, l’équipe de pays des Nations unies (UNCT) au Burkina Faso a franchi une étape significative dans la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD), en étroite collaboration avec les autorités nationales et en parfaite synergie avec les priorités du gouvernement, à travers le Plan d’Action Intérimaire des Nations Unies pour le Développement Durable (UNIDAP) 2023-2025.Ce rapport annuel met en lumière les réalisations clés et les résultats tangibles obtenus, qui traduisent l’engagement collectif de l’UNCT et du Gouvernement du Burkina Faso en faveur d’un développement inclusif, durable et résilient, ne laissant personne de côté. Il illustre également la capacité du Système des Nations Unies à rassembler les parties prenantes nationales et régionales pour accélérer l’opérationnalisation du Nexus humanitaire-développement-paix, dans un contexte marqué par une demande croissante d’assistance humanitaire. Ces avancées n’auraient pas été possibles sans des partenariats solides et stratégiques avec le Gouvernement, la société civile, les femmes, les jeunes, les personnes en situation de handicap, ainsi que le soutien continu et généreux des partenaires techniques et financiers. En collaboration avec les institutions nationales, des résultats notables ont été obtenus dans des secteurs prioritaires tels que la santé, l’agriculture, le climat, l’égalité des genres, l’autonomisation des jeunes, la cohésion sociale, et l’accès équitable à des services publics de qualité. L’approche inter-agences, appuyée par les groupes de résultats, a permis de mutualiser les expertises et de déployer des programmes conjoints à fort impact, particulièrement en faveur des populations les plus vulnérables. En 2024, la mobilisation des ressources a constitué une priorité majeure, notamment auprès des institutions financières internationales et du secteur privé. Des visites de haut niveau, dont celle de la Vice-Secrétaire générale des Nations Unies, ont non seulement renforcé la visibilité des actions menées, mais également réaffirmé l’engagement indéfectible des Nations Unies à accompagner durablement le Burkina Faso.À la demande du Gouvernement, l’Équipe Pays s’est fortement mobilisée pour co-créer et appuyer le lancement de trois programmes transformateurs, à savoir : • la transformation des systèmes alimentaires ; • la stabilisation et la coopération transfrontalière ; • la transition humanitaire-développement-paix. Ces initiatives visent à renforcer la souveraineté nationale, favoriser un développement endogène, et accélérer les dynamiques de résilience à travers le pays. En 2025, les Nations-Unies entendent capitaliser sur les acquis, renforcer davantage les synergies avec le gouvernement et les partenaires de développement, et amplifier les efforts de financement pour assurer une mise en œuvre efficace des priorités nationales. Plus que jamais, les Nations Unies réaffirment leur engagement en faveur d’un Burkina Faso souverain, stable et résilient, en s’appuyant sur des alliances stratégiques avec les institutions nationales, les partenaires techniques et financiers, la société civile, le secteur privé et les communautés.
Histoire
18 novembre 2025
Le Gouvernement Burkinabè et le Système des Nations Unies renforcent la consolidation de la paix à travers des investissements structurants dans les zones d’intervention.
Dans le cadre de la coordination conjointe des interventions du Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix (PBF) au Burkina Faso, le Gouvernement du Burkina Faso, avec l’appui du Secrétariat Technique du PBF et les Agences récipiendaires (PNUD, FAO, UNHCR, UNFPA) a conduit du 5 au 8 novembre 2025 une série de missions conjointes essentielles pour évaluer les investissements déployés dans plusieurs régions du pays. Ces visites démontrent une fois encore la volonté commune d’alignement des nations-unies sur les priorités nationales et de renforcer l’autorité de l’État, de promouvoir la résilience locale et de construire une paix durable.Au centre de cette dynamique se trouve l’engagement déterminant du ministère de l’Économie et des Finances, à travers la Direction Générale du Développement Territorial (DGDT), cheville ouvrière du pilotage technique et du suivi rapproché des projets PBF. Son leadership assure la cohérence, la redevabilité et l’impact réel des investissements au bénéfice des populations.5 novembre 2025, Frontière Burkina Faso–Côte d’Ivoire & région des CascadesLa première journée de mission a concerné deux zones stratégiques :A Kosso et Boussoukoula (frontière sud-ouest), les équipes conjointes Gouvernement–ONU ont procédé à la vérification des infrastructures sociales et sécuritaires aux postes des frontières (postes de police, de gendarmerie et de l’environnement) financées par le PBF. Les dotations en matériel roulant, équipements mobiliers, informatiques et aménagements renforcent la sécurité transfrontalière, la lutte contre les trafics illicites et l’ancrage de l’autorité de l’État dans une zone à forts enjeux sécuritaires. A Niangoloko et Banfora (région des Cascades), la mission a également évalué l’état de la construction de boutiques marchandes dans les marchés, le Champ École Agro-Pastoral de Djoléna et les activités du Centre de Formation Professionnelle Louis QUERBES, où 50 jeunes suivent une formation intensive dans des métiers porteurs. Ces investissements structurants favorisent l’emploi, la cohésion sociale et la relance économique locale. 6 novembre 2025, Province de la Léraba & commune de Bouroum-BouroumLa mission s’est poursuivie dans la province de la Léraba, axée sur la gouvernance foncière et l’autonomisation économique. À Sindou, la délégation a échangé avec les autorités provinciales et les acteurs du foncier en formation sur la loi portant régime foncier rural, renforçant ainsi les capacités locales de prévention des conflits. À Konadougou, la mission a rencontré les femmes hôtes et déplacées internes engagées dans des formations en entrepreneuriat et gestion d’entreprise ; le financement de leurs plans d’affaires doit se traduire par des activités génératrices de revenus durables pour renforcer leur résilience et engagement à la cohésion sociale. À Tiéfora, la visite du périmètre rizicole de 35 hectares à Labora-Sankrala, exploité par 120 producteurs dont 70 femmes et 10 personnes déplacées internes, a montré comment l’investissement du PBF contribue simultanément à la sécurité alimentaire, à la stabilisation des revenus et à la cohésion et au vivre ensemble entre communautés hôtes et déplacées. Toujours le 6 novembre 2025, une mission conduite par la DGDT et le coordonnateur du PBF s’est rendue à Bouroum-Bouroum (village de Tiogagara) pour inspecter un forage hydraulique (Poste d’Eau Autonome) financé dans le cadre du projet Women’s Leadership in Action mis en œuvre avec l’Association pour la Promotion Féminine de Gaoua. Après un échange avec le Président de la Délégation spéciale, M. Ibrahim Kindo, la délégation a salué une innovation majeure de gouvernance locale : la mise en place d’une association d’usagers de l’eau et d’un comité de gestion, encadrés par une convention tripartite entre la commune, les usagers et un artisan chargé du suivi technique. Pour l’équipe de la mission, ce modèle est promoteur et peut garantir la pérennité de l’ouvrage et son impact. L’accès à l’eau potable allège considérablement la charge des femmes, libérant du temps pour les activités génératrices de revenus et la scolarisation des filles ; il permet également le développement du maraîchage en saison sèche et réduit les tensions liées à la rareté de la ressource, faisant de l’eau un véritable levier de résilience et de consolidation de la paix. 6-8 novembre 2025, Région du NakambéCette étape a mis en lumière la contribution significative du PBF à l’atteinte des résultats d’envergure nationale dans le domaine de l’accès des populations aux cartes d’identité. Dans la région du Nakambé, la mission a constaté la réalisation et la distribution de 4 000 Cartes Nationales d’Identité Burkinabè, rétablissant la citoyenneté pleine et entière de populations vulnérables et facilitant leur accès aux services sociaux et aux dispositifs de soutien public. Parallèlement, dans le cadre de la contribution des jeunes filles et jeunes garçons à la mise en œuvre des résolutions 1325 et 2250 des Nations Unies, 320 jeunes et femmes ont été formés et installés en pisciculture, couture et maraîchage, avec des kits complets permettant le renforcement de leur résilience à travers un démarrage immédiat d’activités génératrices de revenus. Ces réalisations, rendues possibles grâce à la co-construction de la paix entre la DGDT et les agences des Nations et ONG récipiendaires du PBF à travers la mobilisation de partenaires tels que l’OIM, OCADES, Tin Tua et WANEPP, matérialisent la volonté du Gouvernement de répondre à la fragilité par l’emploi et l’inclusion économique. Un partenariat modèle pour la paix durableÀ travers ces réalisations, une évidence s’impose : la consolidation de la paix au Burkina Faso est portée par un partenariat solide, fondé sur le leadership étatique, la coordination stratégique et l'engagement opérationnel des Nations Unies dans une approche de cocréation avec le Gouvernement. Le PBF n’est pas seulement un mécanisme financier ; il est un catalyseur d’initiatives nationales qui placent l’accès des communautés au cœur de l’accès aux infrastructures sociales et sécuritaires de consolidation de la paix et de la stabilité. Cette vision partagée continuera de guider les actions jusqu’en 2026 et au-delà, au bénéfice des populations burkinabè.
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Histoire
03 novembre 2025
80ᵉ anniversaire des Nations Unies : Le Burkina Faso et l’ONU unis pour construire l’avenir ensemble
Le Système des Nations Unies au Burkina Faso, sous la co-présidence du Ministre des Affaires Etrangères, de la Coopération Régionale et des Burkinabè de l’Extérieur et du Coordonnateur Résident par intérim, a célébré, du 21 au 31 octobre 2025, le 80ᵉ anniversaire de la Charte des Nations Unies, sous le thème « Construisons notre avenir ensemble ».
Au-delà de la cérémonie officielle du 24 octobre, cette commémoration a pris la forme d’une semaine d’activités diversifiées, combinant sensibilisation à la santé, mobilisation communautaire, échanges avec la jeunesse et célébration du multilatéralisme.La semaine a débuté le mardi 21 octobre par une visioconférence sur le cancer du sein, animée par des experts du Ministère de la Santé et de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Cette session, suivie à la fois en présentiel à l’Immeuble des Nations Unies et en ligne via MS Teams, a permis d’aborder les bonnes pratiques de dépistage et de sensibiliser le personnel du Système des Nations Unies à l’importance de la prévention et du diagnostic précoce. Les 22 et 23 octobre, la Clinique des Nations Unies à Koulouba a organisé deux journées de dépistage volontaire du cancer du sein et du col de l’utérus, ouvertes à tout le personnel. Ces actions, menées en collaboration avec les associations du personnel, ont mobilisé plus d’une centaine de participantes, illustrant l’engagement de l’ONU pour la santé et le bien-être de ses agents.Le jeudi 23 octobre, les jeux radiophoniques sur les Nations Unies diffusés à la RTBF Radio ont permis au grand public de tester ses connaissances sur l’histoire, les missions et les Objectifs de Développement Durable (ODD). Cette activité ludique et éducative a suscité un fort engouement, offrant une autre manière d’apprendre tout en s’amusant.Le point culminant de la semaine a été la cérémonie officielle du vendredi 24 octobre 2025, organisée à la salle des actes de l’Université Joseph Ki-Zerbo (UJKZ).
L’événement a été coprésidé par Son Excellence Karamoko Jean Marie Traoré, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur, et Monsieur Maurice Azonnankpo, Coordonnateur résident par intérim du Système des Nations Unies. Dans son allocution, le ministre a salué le partenariat historique entre le Burkina Faso et les Nations Unies, tout en appelant à des réformes justes et réalistes pour rendre le système multilatéral plus efficace et inclusif. Le Coordonnateur résident par intérim a, quant à lui, réaffirmé la solidarité du Système des Nations Unies envers le peuple burkinabè, rappelant les résultats tangibles obtenus en 2024 grâce à un investissement de 235 millions de dollars ayant touché plus de 10 millions de personnes. En marge de la cérémonie, l’Université Joseph Ki-Zerbo a abrité une Journée Portes Ouvertes au cours de laquelle les étudiants ont pu échanger avec les agences onusiennes et quelques partenaires et bénéficiaires, découvrir leurs domaines d’intervention et les opportunités offertes, notamment à travers le Programme des Volontaires des Nations Unies (VNU).
Les témoignages recueillis ont mis en lumière la curiosité et l’intérêt croissant de la jeunesse pour le système onusien et les ODD.Leïla Nadia, étudiante en Management de ressources à l’Université de l’Unité Africaine confie :« J’ai découvert plusieurs agences onusiennes dont j’ignorais l’existence. Cela nous a permis de mieux comprendre leurs activités et les opportunités offertes aux jeunes. »De son côté, Naco Françoise, étudiante en géographie à l’UJKZ, a salué la visibilité donnée au volontariat des Nations Unies :« Nous avons appris que les étudiants peuvent s’engager dès la licence comme volontaires. Cette journée nous a montré que nous avons un rôle à jouer dans le développement de notre pays. » En parallèle, la Clinique des Nations Unies a poursuivi sa campagne de dépistage volontaire, tandis que la RTBF Radio diffusait une nouvelle session de jeux radiophoniques, prolongeant la célébration jusque dans les foyers.La semaine s’est achevée le vendredi 31 octobre par une soirée de clôture des UN Days au Restaurant The Garden à Ouaga 2000. Plusieurs activités de célébration ont aussi eu lieu dans les 5 bureaux terrains à l’intérieur du pays.
Ce moment convivial a réuni le personnel du Système des Nations Unies autour d’un même idéal : renforcer la cohésion, célébrer la diversité et renouveler l’engagement commun envers la paix et le développement durable. À travers cette série d’activités, le Système des Nations Unies au Burkina Faso a voulu illustrer la proximité de l’ONU avec les populations, son rôle de partenaire du développement et sa volonté d’innover dans ses approches pour ne laisser personne de côté.Comme l’a rappelé le Coordonnateur résident par intérim :« À 80 ans, l’ONU ne célèbre pas seulement son histoire, elle se réinvente pour être encore plus proche des réalités locales et des communautés qu’elle sert. »
Au-delà de la cérémonie officielle du 24 octobre, cette commémoration a pris la forme d’une semaine d’activités diversifiées, combinant sensibilisation à la santé, mobilisation communautaire, échanges avec la jeunesse et célébration du multilatéralisme.La semaine a débuté le mardi 21 octobre par une visioconférence sur le cancer du sein, animée par des experts du Ministère de la Santé et de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Cette session, suivie à la fois en présentiel à l’Immeuble des Nations Unies et en ligne via MS Teams, a permis d’aborder les bonnes pratiques de dépistage et de sensibiliser le personnel du Système des Nations Unies à l’importance de la prévention et du diagnostic précoce. Les 22 et 23 octobre, la Clinique des Nations Unies à Koulouba a organisé deux journées de dépistage volontaire du cancer du sein et du col de l’utérus, ouvertes à tout le personnel. Ces actions, menées en collaboration avec les associations du personnel, ont mobilisé plus d’une centaine de participantes, illustrant l’engagement de l’ONU pour la santé et le bien-être de ses agents.Le jeudi 23 octobre, les jeux radiophoniques sur les Nations Unies diffusés à la RTBF Radio ont permis au grand public de tester ses connaissances sur l’histoire, les missions et les Objectifs de Développement Durable (ODD). Cette activité ludique et éducative a suscité un fort engouement, offrant une autre manière d’apprendre tout en s’amusant.Le point culminant de la semaine a été la cérémonie officielle du vendredi 24 octobre 2025, organisée à la salle des actes de l’Université Joseph Ki-Zerbo (UJKZ).
L’événement a été coprésidé par Son Excellence Karamoko Jean Marie Traoré, ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l’extérieur, et Monsieur Maurice Azonnankpo, Coordonnateur résident par intérim du Système des Nations Unies. Dans son allocution, le ministre a salué le partenariat historique entre le Burkina Faso et les Nations Unies, tout en appelant à des réformes justes et réalistes pour rendre le système multilatéral plus efficace et inclusif. Le Coordonnateur résident par intérim a, quant à lui, réaffirmé la solidarité du Système des Nations Unies envers le peuple burkinabè, rappelant les résultats tangibles obtenus en 2024 grâce à un investissement de 235 millions de dollars ayant touché plus de 10 millions de personnes. En marge de la cérémonie, l’Université Joseph Ki-Zerbo a abrité une Journée Portes Ouvertes au cours de laquelle les étudiants ont pu échanger avec les agences onusiennes et quelques partenaires et bénéficiaires, découvrir leurs domaines d’intervention et les opportunités offertes, notamment à travers le Programme des Volontaires des Nations Unies (VNU).
Les témoignages recueillis ont mis en lumière la curiosité et l’intérêt croissant de la jeunesse pour le système onusien et les ODD.Leïla Nadia, étudiante en Management de ressources à l’Université de l’Unité Africaine confie :« J’ai découvert plusieurs agences onusiennes dont j’ignorais l’existence. Cela nous a permis de mieux comprendre leurs activités et les opportunités offertes aux jeunes. »De son côté, Naco Françoise, étudiante en géographie à l’UJKZ, a salué la visibilité donnée au volontariat des Nations Unies :« Nous avons appris que les étudiants peuvent s’engager dès la licence comme volontaires. Cette journée nous a montré que nous avons un rôle à jouer dans le développement de notre pays. » En parallèle, la Clinique des Nations Unies a poursuivi sa campagne de dépistage volontaire, tandis que la RTBF Radio diffusait une nouvelle session de jeux radiophoniques, prolongeant la célébration jusque dans les foyers.La semaine s’est achevée le vendredi 31 octobre par une soirée de clôture des UN Days au Restaurant The Garden à Ouaga 2000. Plusieurs activités de célébration ont aussi eu lieu dans les 5 bureaux terrains à l’intérieur du pays.
Ce moment convivial a réuni le personnel du Système des Nations Unies autour d’un même idéal : renforcer la cohésion, célébrer la diversité et renouveler l’engagement commun envers la paix et le développement durable. À travers cette série d’activités, le Système des Nations Unies au Burkina Faso a voulu illustrer la proximité de l’ONU avec les populations, son rôle de partenaire du développement et sa volonté d’innover dans ses approches pour ne laisser personne de côté.Comme l’a rappelé le Coordonnateur résident par intérim :« À 80 ans, l’ONU ne célèbre pas seulement son histoire, elle se réinvente pour être encore plus proche des réalités locales et des communautés qu’elle sert. »
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Histoire
02 octobre 2025
Former pour transformer : l’ONU Burkina Faso renforce les capacités sur l’intégration du genre dans sa programmation
Un engagement renouvelé pour l’égalitéDu 23 au 26 septembre 2025, l’Équipe-pays des Nations Unies au Burkina Faso a organisé à Ouagadougou un atelier de formation des points focaux sur l’intégration du genre dans la programmation. Accueillie à l’hôtel Sopatel Silmandé, cette session a réuni près d’une trentaine de participantes et participants issus de différentes agences onusiennes, avec un objectif commun : faire de l’égalité entre les femmes et les hommes une réalité concrète dans les actions, les résultats et l’impact du système des Nations Unies au Burkina Faso.
Cet engagement s’inscrit dans une trajectoire historique. Depuis la Déclaration et le Programme d’action de Beijing en 1995, les États membres de l’ONU considèrent l’intégration de la dimension de genre comme une stratégie essentielle pour parvenir à l’égalité. Ce principe a été consolidé à travers les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), puis renforcé par le Programme de développement durable à l’horizon 2030, dont l’ODD 5 sur l’égalité de genre constitue un levier transversal pour atteindre l’ensemble des ODD.Objectifs et méthodologie de la formationConformément à son mandat, l’Équipe-pays a placé le genre au cœur de ses priorités en mobilisant ses groupes thématiques – notamment le Groupe thématique Genre, Droits humains et Inclusion – pour accompagner la mise en œuvre du Plan d’action intérimaire des Nations Unies pour le développement durable (UNIDAP) 2023-2026 du Burkina Faso.
La formation visait plusieurs résultats concrets :
- familiariser les participants avec les concepts, approches et outils d’intégration du genre dans le cycle de programmation des Nations Unies ;
- renforcer les capacités sur l’utilisation du tableau de bord UNCT-SWAP et du marqueur Genre (GEM), deux instruments phares de redevabilité en matière d’égalité ;
- favoriser l’échange de bonnes pratiques et la constitution d’un réseau interne d’expertise pour soutenir durablement l’intégration du genre ;
- créer un pool de ressources au sein de l’UNCT, capable d’appuyer l’ensemble des groupes de travail dans ce domaine.
La méthodologie adoptée a combiné des séances plénières, des présentations techniques assurées par ONU Femmes et l’UNFPA, des exercices pratiques en groupes, ainsi que des discussions interactives permettant d’adapter les outils aux réalités du Burkina Faso.Lancement officiel : un appel à la responsabilité partagéeLors de la cérémonie d’ouverture, le Coordonnateur résident par intérim, M. Maurice Azonnankpo, a rappelé que l’égalité entre les femmes et les hommes n’est pas seulement un objectif en soi mais un catalyseur indispensable pour atteindre l’ensemble des ODD.
Il a insisté sur deux points essentiels :
1. L’intégration du genre est une responsabilité collective, qui doit concerner l’ensemble des acteurs et non pas seulement les spécialistes.
2. La formation doit se traduire en actions mesurables, au bénéfice des femmes, des filles, et de toute la société burkinabè.
Son message a donné le ton d’un atelier placé sous le signe de la collaboration et de l’action.Des échanges riches et constructifsDurant quatre jours, les participants ont renforcé leurs compétences sur l’utilisation du tableau de bord UNCT-SWAP, qui permet d’évaluer la performance du système des Nations Unies en matière d’égalité de genre, et du marqueur GEM, qui sert à suivre l’allocation des ressources financières à l’autonomisation des femmes.
Les exercices de groupe ont permis d’analyser des documents stratégiques et de proposer des améliorations concrètes pour une meilleure prise en compte du genre. Ces moments interactifs ont nourri des discussions franches et constructives, favorisant l’émergence de solutions adaptées au contexte burkinabè.Témoignage d’une participante : des ambassadeurs pour le genreAu nom des participants, Mme Irène Yakanah Emah, de l’Organisation mondiale de la Santé, a exprimé sa profonde gratitude aux organisateurs de la formation. Elle a souligné avoir renforcé ses capacités en matière d’intégration du genre dans la programmation et a encouragé la poursuite du plaidoyer pour multiplier ce type d’initiatives.
« Les participants s’engagent à être des ambassadeurs de la prise en compte du genre dans les documents stratégiques », a-t-elle déclaré, traduisant ainsi la volonté collective d’inscrire l’égalité au cœur des processus programmatiques. Clôture : de la formation à l’actionEn clôturant officiellement l’atelier, le Coordonnateur résident a.i. a salué la qualité des échanges et la pertinence des contributions des collègues des différentes agences. Il a encouragé les nouveaux formateurs ainsi outillés à restituer les acquis auprès de leurs équipes respectives et a réaffirmé l’appui de l’Équipe-pays pour accompagner ce processus.
Cet engagement vise à garantir que les programmations en faveur des communautés intègrent mieux la dimension genre, afin de produire un impact tangible sur le terrain. Vers une culture institutionnelle inclusiveAu-delà d’un simple renforcement de capacités, cette formation marque une étape vers un changement de culture institutionnelle. Elle contribue à l’émergence d’un réseau de praticiens convaincus que l’égalité n’est pas une option mais une condition de réussite collective.
En conjuguant leurs efforts, les Nations Unies et leurs partenaires au Burkina Faso traduisent en actes l’esprit de la Déclaration de Beijing et de l’Agenda 2030 : faire en sorte que l’égalité des sexes cesse d’être un principe affiché pour devenir une réalité vécue dans la vie des femmes, des hommes, des filles et des garçons du pays.
Cet engagement s’inscrit dans une trajectoire historique. Depuis la Déclaration et le Programme d’action de Beijing en 1995, les États membres de l’ONU considèrent l’intégration de la dimension de genre comme une stratégie essentielle pour parvenir à l’égalité. Ce principe a été consolidé à travers les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD), puis renforcé par le Programme de développement durable à l’horizon 2030, dont l’ODD 5 sur l’égalité de genre constitue un levier transversal pour atteindre l’ensemble des ODD.Objectifs et méthodologie de la formationConformément à son mandat, l’Équipe-pays a placé le genre au cœur de ses priorités en mobilisant ses groupes thématiques – notamment le Groupe thématique Genre, Droits humains et Inclusion – pour accompagner la mise en œuvre du Plan d’action intérimaire des Nations Unies pour le développement durable (UNIDAP) 2023-2026 du Burkina Faso.
La formation visait plusieurs résultats concrets :
- familiariser les participants avec les concepts, approches et outils d’intégration du genre dans le cycle de programmation des Nations Unies ;
- renforcer les capacités sur l’utilisation du tableau de bord UNCT-SWAP et du marqueur Genre (GEM), deux instruments phares de redevabilité en matière d’égalité ;
- favoriser l’échange de bonnes pratiques et la constitution d’un réseau interne d’expertise pour soutenir durablement l’intégration du genre ;
- créer un pool de ressources au sein de l’UNCT, capable d’appuyer l’ensemble des groupes de travail dans ce domaine.
La méthodologie adoptée a combiné des séances plénières, des présentations techniques assurées par ONU Femmes et l’UNFPA, des exercices pratiques en groupes, ainsi que des discussions interactives permettant d’adapter les outils aux réalités du Burkina Faso.Lancement officiel : un appel à la responsabilité partagéeLors de la cérémonie d’ouverture, le Coordonnateur résident par intérim, M. Maurice Azonnankpo, a rappelé que l’égalité entre les femmes et les hommes n’est pas seulement un objectif en soi mais un catalyseur indispensable pour atteindre l’ensemble des ODD.
Il a insisté sur deux points essentiels :
1. L’intégration du genre est une responsabilité collective, qui doit concerner l’ensemble des acteurs et non pas seulement les spécialistes.
2. La formation doit se traduire en actions mesurables, au bénéfice des femmes, des filles, et de toute la société burkinabè.
Son message a donné le ton d’un atelier placé sous le signe de la collaboration et de l’action.Des échanges riches et constructifsDurant quatre jours, les participants ont renforcé leurs compétences sur l’utilisation du tableau de bord UNCT-SWAP, qui permet d’évaluer la performance du système des Nations Unies en matière d’égalité de genre, et du marqueur GEM, qui sert à suivre l’allocation des ressources financières à l’autonomisation des femmes.
Les exercices de groupe ont permis d’analyser des documents stratégiques et de proposer des améliorations concrètes pour une meilleure prise en compte du genre. Ces moments interactifs ont nourri des discussions franches et constructives, favorisant l’émergence de solutions adaptées au contexte burkinabè.Témoignage d’une participante : des ambassadeurs pour le genreAu nom des participants, Mme Irène Yakanah Emah, de l’Organisation mondiale de la Santé, a exprimé sa profonde gratitude aux organisateurs de la formation. Elle a souligné avoir renforcé ses capacités en matière d’intégration du genre dans la programmation et a encouragé la poursuite du plaidoyer pour multiplier ce type d’initiatives.
« Les participants s’engagent à être des ambassadeurs de la prise en compte du genre dans les documents stratégiques », a-t-elle déclaré, traduisant ainsi la volonté collective d’inscrire l’égalité au cœur des processus programmatiques. Clôture : de la formation à l’actionEn clôturant officiellement l’atelier, le Coordonnateur résident a.i. a salué la qualité des échanges et la pertinence des contributions des collègues des différentes agences. Il a encouragé les nouveaux formateurs ainsi outillés à restituer les acquis auprès de leurs équipes respectives et a réaffirmé l’appui de l’Équipe-pays pour accompagner ce processus.
Cet engagement vise à garantir que les programmations en faveur des communautés intègrent mieux la dimension genre, afin de produire un impact tangible sur le terrain. Vers une culture institutionnelle inclusiveAu-delà d’un simple renforcement de capacités, cette formation marque une étape vers un changement de culture institutionnelle. Elle contribue à l’émergence d’un réseau de praticiens convaincus que l’égalité n’est pas une option mais une condition de réussite collective.
En conjuguant leurs efforts, les Nations Unies et leurs partenaires au Burkina Faso traduisent en actes l’esprit de la Déclaration de Beijing et de l’Agenda 2030 : faire en sorte que l’égalité des sexes cesse d’être un principe affiché pour devenir une réalité vécue dans la vie des femmes, des hommes, des filles et des garçons du pays.
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Histoire
13 août 2025
Journée Internationale de la Jeunesse 2025 : La jeunesse burkinabè au cœur du Pacte du futur
Placée sous le thème « Pacte du futur : Le Burkina que nous voulons – Le rôle de la jeunesse dans un Burkina de paix et souverain », l’édition 2025 de la journée Internationale de la Jeunesse (JIJ) s’est tenue au Palais des Sports de Ouaga 2000, sous le haut patronage de Son Excellence Monsieur Rimtalba Jean Emmanuel Ouédraogo, Premier Ministre, Chef du Gouvernement. L’évènement a été marqué par la présence de la Madame Carol Flore-Smereczniak, Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies au Burkina Faso et Coordinatrice humanitaire, ainsi que de nombreux partenaires techniques et financiers (PTF).Organisée par le Ministère des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, en collaboration avec le Système des Nations Unies et plusieurs partenaires, cette édition a réuni des centaines de jeunes représentant les 17 régions et 47 provinces du pays, ainsi que des membres de la diaspora. Elle a constitué un moment fort de dialogue intergénérationnel, de créativité et d’engagement citoyen, ancré dans la volonté commune de bâtir un Burkina Faso pacifique, souverain et résilient. En amont de la célébration, une vaste consultation nationale a mobilisé près de 4 700 jeunes, permettant de recueillir leurs visions et propositions en lien avec les priorités du Pacte pour l’Avenir, adopté en 2024 par l’Assemblée générale des Nations Unies.Ce processus, conduit conjointement par le Ministère en charge de la jeunesse et le Système des Nations Unies, a été facilitées par 40 directeurs régionaux et provinciaux formés sur les thématiques stratégiques : contenu du Pacte du Futur, Révolution Progressiste et Populaire, initiatives présidentielles et intégration régionale dans le cadre de la Confédération des États du Sahel. Cette démarche illustre une approche de gouvernance participative, où la voix de la jeunesse nourrit directement les politiques publiques.Point d’orgue de cette édition, la Tribune de la Créativité et de l’Innovation a récompensé les meilleures initiatives menées par des jeunes, dans les domaines de l’agro-sylvo-pastoralisme, de la technologie, de la cohésion sociale et de la paix. Des Titres de reconnaissance ont également été décernés à des PTF engagés aux côtés de la jeunesse, notamment l’UNFPA, le PNUD, l’UNICEF et l’OIM. Le Ministre des Sports, de la Jeunesse et de l’Emploi, M. Roland Somda, a profité de l’occasion pour présenter la plateforme Faso Arzeka, dediée à la mobilisation de contributions pour l’initiative Faso Mêbo, donnant l’exemple en y souscrivant personnellement à hauteur de 250 000 FCFA Dans son allocution, le Premier Ministre a salué la mobilisation et la maturité de la jeunesse Burkinabé, affirmant : « le Burkina Faso renaîtra plus fort, grâce à sa jeunesse ». Il a invité les jeunes à transformer leur créativité et leur audace en projets concrets au service de la nation. Pour sa part, la Coordonnatrice Résidente des Nations Unies a rappelé : « le Burkina Faso puise sa richesse dans la capacité de sa jeunesse à transformer les défis en opportunités », réaffirmant l’engagement du Système des Nations Unies à marcher aux côtés des jeunes pour bâtir un avenir durable, inclusif et pacifique. La JIJ 2025 s’est clôturée par la présentation d’un document-guide des contributions et engagements de la jeunesse, destiné au Président du Faso. Ce cadre constituera un outil stratégique pour renforcer la participation des jeunes à la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD) et des priorités nationales.Le Gouvernement et ses partenaires ont déjà pris rendez-vous pour l’édition 2026, qui se tiendra dans une autre ville du Burkina Faso, afin de maintenir la dynamique nationale d’engagement et de participation citoyenne des jeunes.
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Histoire
04 août 2025
Burkina Faso : un élan de solidarité du personnel des Nations Unies pour les plus vulnérables
Dans une atmosphère empreinte de solidarité, la Fédération des Associations du Personnel du Système des Nations Unies au Burkina Faso a remis, ce lundi, 4 août 2025, un chèque d’un montant de 6 460 580 francs CFA au ministère de l’Action Humanitaire. La cérémonie s’est tenue au siège du Fonds National de Solidarité et de Résilience Sociale en présence du DG du Fonds de soutien et de résilience sociale, du Coordonnateur Résident par intérim du Système des Nations Unies, du Président de la Fédération des Associations des staffs, ainsi que des membres représentants du personnel.Issu d’une collecte volontaire auprès du personnel onusien, ce montant vise à soutenir les populations les plus vulnérables dans un contexte national marqué par de multiples défis humanitaires.« Nous sommes réunis aujourd’hui dans un esprit de solidarité et d’engagement humain, portés par la conviction que, face à l’adversité, chaque geste compte », a déclaré le Président de la Fédération, Patrick NAKOLENDOUSSE, lors de son allocution. Il a rappelé que cette collecte, lancée en mai 2024, traduisait la sensibilité et l’engagement du personnel des Nations Unies à l’égard des réalités du Burkina Faso. Le moment fort de la cérémonie a été la remise symbolique du chèque, saluée par des applaudissements nourris. Le Coordonnateur Résident par intérim du Système des Nations Unies, Maurice Azonnankpo, a souligné la valeur de cet élan collectif, rappelant que « chaque geste, aussi modeste soit-il, contribue à bâtir un avenir plus digne et plus résilient pour les communautés vulnérables ». Le Directeur général du Fonds de soutien et de résilience sociale a, pour sa part, exprimé sa profonde gratitude envers la grande famille onusienne . Au nom du ministère de l’Action Humanitaire et de la solidarité nationale, il a remercié sincèrement le personnel des Nations Unies pour ce geste fraternel. Il a mentionné que ce soutien démontre que la solidarité n’est pas seulement un mot, mais une valeur vécue ». Au-delà de l’aspect financier, ce geste revêt une portée symbolique forte. Il illustre l’attachement du personnel onusien aux valeurs universelles de paix, de dignité et d’assistance. Comme l’a rappelé le représentant de la Fédération, « plus qu’un soutien matériel, cette mobilisation est un symbole de notre volonté de rester attentifs aux réalités qui nous entourent et d’agir avec bienveillance ».La Fédération a tenu à remercier la Coordination Résidente du Système des Nations Unies et l’ensemble des chefs d’agence pour leur appui déterminant, ainsi que le ministère des Affaires Étrangères et le ministère de l’Action Humanitaire pour leur accompagnement. Les participants ont unanimement souligné qu’au-delà des chiffres, c’est l’esprit de solidarité qui demeure la plus grande richesse. Dans un contexte marqué par les défis sécuritaires et humanitaires, chaque geste compte.
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Communiqué de presse
21 février 2025
Les Nations Unies au Burkina Faso, Partenaire du FESPACO 2025
Placée sous le thème « Cinémas d’Afrique et identités culturelles », cette édition met en lumière le rôle du cinéma dans la valorisation des identités africaines, la promotion du dialogue interculturel et le renforcement de la cohésion sociale.
Dans le cadre de ce partenariat, les Nations Unies apportent un appui financier de 98 250 000F FCFA, (soit 156 400 dollars américains), incluant un prix officiel du Palmarès d’une valeur de près de 20 millions de FCFA. Cet engagement traduit leur volonté d’accompagner les acteurs culturels et de soutenir les initiatives qui favorisent l’inclusion, la diversité et le dialogue entre les peuples.
Le thème de cette 29ᵉ édition résonne avec les valeurs fondamentales des Nations Unies, en particulier la promotion de la diversité culturelle, le respect des droits humains et l’importance du vivre-ensemble.
« Le FESPACO est bien plus qu’un festival de cinema : c’est une vitrine exceptionnelle du talent africain et un puissant vecteur de transformation sociale. En soutenant cette 29ᵉ édition, les Nations Unies réaffirment leur engagement en faveur des initiatives qui célèbrent la diversité, renforcent la cohésion sociale et valorisent le patrimoine culturel du continent », à déclaré Mme Carol Flore-Smereczniack, Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies au Burkina Faso et Coordonnatrice Humanitaire.
Le Système des Nations Unies, en partenariat avec les autorités burkinabè, accompagne les efforts nationaux pour :
- Favoriser la transformation socioéconomique du pays à travers des initiatives porteuse de croissance et d’inclusion.
- Promouvoir une paix durable et une résilience accrue face aux défis multidimensionnels que traverse le Burkina Faso.
- Soutenir les industries culturelles et créative en tant que moteur de développement et levier d’intégration régionale.
Le FESPACO 2025 constitue une opportunité unique de valoriser le potentiel du cinéma africain et son rôle crucial dans la préservation des identités culturelles, le dialogue interculturel et la promotion d’un avenir harmonieux pour les peuples du continent. Pour plus d’informations, prière contacter :
Mme Zéliya Tamboura, Cheffe du Centre d’Information des Nations Unies (CINU) Burkina Faso, zeliya.tamboura@un.org
Dans le cadre de ce partenariat, les Nations Unies apportent un appui financier de 98 250 000F FCFA, (soit 156 400 dollars américains), incluant un prix officiel du Palmarès d’une valeur de près de 20 millions de FCFA. Cet engagement traduit leur volonté d’accompagner les acteurs culturels et de soutenir les initiatives qui favorisent l’inclusion, la diversité et le dialogue entre les peuples.
Le thème de cette 29ᵉ édition résonne avec les valeurs fondamentales des Nations Unies, en particulier la promotion de la diversité culturelle, le respect des droits humains et l’importance du vivre-ensemble.
« Le FESPACO est bien plus qu’un festival de cinema : c’est une vitrine exceptionnelle du talent africain et un puissant vecteur de transformation sociale. En soutenant cette 29ᵉ édition, les Nations Unies réaffirment leur engagement en faveur des initiatives qui célèbrent la diversité, renforcent la cohésion sociale et valorisent le patrimoine culturel du continent », à déclaré Mme Carol Flore-Smereczniack, Coordonnatrice Résidente du Système des Nations Unies au Burkina Faso et Coordonnatrice Humanitaire.
Le Système des Nations Unies, en partenariat avec les autorités burkinabè, accompagne les efforts nationaux pour :
- Favoriser la transformation socioéconomique du pays à travers des initiatives porteuse de croissance et d’inclusion.
- Promouvoir une paix durable et une résilience accrue face aux défis multidimensionnels que traverse le Burkina Faso.
- Soutenir les industries culturelles et créative en tant que moteur de développement et levier d’intégration régionale.
Le FESPACO 2025 constitue une opportunité unique de valoriser le potentiel du cinéma africain et son rôle crucial dans la préservation des identités culturelles, le dialogue interculturel et la promotion d’un avenir harmonieux pour les peuples du continent. Pour plus d’informations, prière contacter :
Mme Zéliya Tamboura, Cheffe du Centre d’Information des Nations Unies (CINU) Burkina Faso, zeliya.tamboura@un.org
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Communiqué de presse
17 janvier 2025
Les partenaires humanitaires appellent à une mobilisation renforcée de 792,6 millions de dollars US pour répondre aux besoins urgents de 3,7 millions de personnes au Burkina Faso
Ce plan, fruit d’une étroite concertation entre le Gouvernement Burkinabè et les partenaires humanitaires, reflète une vision commune : répondre efficacement aux crises tout en jetant les bases d’un avenir résilient pour les communautés affectées. Avec un financement requis de 792,6 millions de dollars américains, le Plan de Réponse des Partenaires Humanitaires s’inscrit en parfaite synergie avec le Plan National et constitue non seulement un cadre de mobilisation des ressources mais aussi un instrument de redevabilité et de transparence vis-à-vis de l’État et des bailleurs.Les actions prévues en 2025 couvriront des domaines essentiels tels que la sécurité alimentaire, la nutrition, la santé, les abris, l’éducation, la protection, l’eau, l’hygiène, et l’assainissement, ainsi que des activités génératrices de revenus, en complément des efforts du Gouvernement Burkinabè. Cette approche multisectorielle vise à non seulement répondre aux besoins immédiats mais également à renforcer la résilience des communautés, une priorité essentielle pour la transition vers des solutions durables.“Nous saluons la vision du Gouvernement burkinabè qui, tout en répondant aux crises immédiates, aspire à réduire progressivement la dépendance à l’aide humanitaire en faveur d’une assistance davantage axée sur le développement durable. Cette approche holistique guidera nos interventions en 2025 et au-delà", a déclaré Madame Carol Flore-Smereczniak, Coordinatrice humanitaire au Burkina Faso.L’année 2024, a été marquée par des défis considérables, notamment l’accès limité à certaines zones et un sous-financement chronique, avec seulement 44,8 % des besoins financiers couverts au 31 décembre. Néanmoins, grâce à la détermination collective des partenaires et à l’appui continu des donateurs, 42 % des personnes ciblées ont pu recevoir une assistance vitale.« Nous exprimons notre profonde gratitude à nos partenaires financiers pour leur soutien constant à la réponse humanitaire au Burkina Faso. En 2025, il est impératif de mobiliser davantage de ressources pour sauver des vies, restaurer la dignité et renforcer la résilience des populations touchées par les crises. Nous restons fermement engagés aux côtés du Gouvernement burkinabè pour relever ce défi humanitaire tout en travaillant à une transition vers des solutions structurelles et pérennes », a conclu Madame Carol Flore-Smereczniak.
Pour plus d’informations, veuillez contacterVedaste Kalima, Chef de Bureau, OCHA Burkina Faso, +22606204594, vedaste@un.org Endurance Lum Nji, Chargée de l’Information Publique, +22605256694, endurance.nji@un.orgPour en savoir plus sur le plan de réponse des partenaires, cliquez sur :https://reliefweb.int/report/burkina-faso/burkina-faso-besoins-humanitaires-et-plan-de-reponse-des-partenaires-2025
Pour plus d’informations, veuillez contacterVedaste Kalima, Chef de Bureau, OCHA Burkina Faso, +22606204594, vedaste@un.org Endurance Lum Nji, Chargée de l’Information Publique, +22605256694, endurance.nji@un.orgPour en savoir plus sur le plan de réponse des partenaires, cliquez sur :https://reliefweb.int/report/burkina-faso/burkina-faso-besoins-humanitaires-et-plan-de-reponse-des-partenaires-2025
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Communiqué de presse
18 décembre 2024
Le Fonds Humanitaire Régional pour l’Afrique de l’Ouest et du Centre alloue 14 millions de dollars US pour répondre aux besoins humanitaires critiques au Burkina Faso
Cette allocation permettra de soutenir 362 000 personnes, dont environ 209 000 femmes et filles, en priorité dans les secteurs critiques tels que la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance, la protection, la santé, la nutrition, l’eau, l’hygiène et assainissement, ainsi que les abris. Les interventions ciblent spécifiquement les régions les plus touchées, à savoir la Boucle du Mouhoun, l’Est, le Nord et le Sahel, où des chocs sécuritaires continuent de provoquer des déplacements de populations et de limiter l’accès aux services sociaux de base, affaiblissant ainsi la résilience des communautés.« Cette allocation arrive à un moment déterminant. Elle reflète notre engagement collectif à répondre aux priorités identifiées dans le cadre du Plan de réponse humanitaire 2024, tout en optimisant l’utilisation des ressources disponibles », a déclaré Madame Carol Flore-Smereczniak, Coordinatrice humanitaire au Burkina Faso. « Notre objectif est d’aller au-delà de l’assistance immédiate en impliquant directement les communautés affectées dans la conception, la mise en œuvre et l’appropriation des interventions, pour garantir des résultats durables et renforcer leur résilience. »Sur les 23 projets retenus, six sont portés par des ONG nationales, témoignant d’une volonté de renforcer la coopération avec les acteurs locaux et de garantir une approche inclusive et complémentaire avec le Plan de réponse humanitaire du Gouvernement. Cependant, malgré cette avancée, les défis financiers restent énormes : à ce jour, seuls 43 % des 934,6 millions de dollars US requis pour le Plan de réponse humanitaire 2024 ont été mobilisés, contre 39,5 % en 2023. Ce sous-financement structurelle freine considérablement l’ampleur des interventions, dans une crise que l’on qualifie déjà de plus négligée au monde.« Nous remercions chaleureusement nos donateurs pour leur engagement continu en faveur de la réponse humanitaire au Burkina Faso, notamment à travers leur appui au FHRAOC. Mais il est impératif d’aller plus loin. Des ressources supplémentaires sont nécessaires pour sauver des vies, atténuer les souffrances et soutenir les communautés vulnérables dans un contexte opérationnel de plus en plus complexe », a ajouté Madame Flore-Smereczniak. « Le FHRAOC, en collaboration avec ses partenaires, reste pleinement mobilisé pour répondre aux défis croissants de cette crise et appelle à une attention accrue et un soutien renforcé de la communauté internationale. »
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Communiqué de presse
10 octobre 2024
L'UNOPS appuie le développement du secteur privé local dans le domaine d'énergie renouvelable au Burkina Faso
OUAGADOUGOU, Burkina Faso, le 09 octobre 2024 - L'énergie est la source de transformations qui stimulent la productivité socio-économique et réduisent les inégalités. L'amélioration de l'accès à l'énergie devrait donc jouer un rôle clé dans la stabilisation et l'augmentation de la résilience d'un pays.En décembre 2020, dans le but de réduire la pauvreté et d'améliorer la qualité de vie dans la région du Liptako-Gourma à travers l'approvisionnement en électricité dans les zones rurales, l'Agence suédoise de développement international (Sida) et l'Autorité de développement intégré des États du Liptako-Gourma (ALG) ont lancé un projet d'appui à l'électrification rurale dans la région.La mise en œuvre du projet a été confiée à l'UNOPS (Bureau des Nations Unies pour les services d'appui aux projets) et au PNUD (Programme des Nations Unies pour le développement), avec un budget de 8,5 millions d'euros, afin de maximiser l'impact de la synergie entre les deux agences des Nations Unies dans l'avancement des efforts pour atteindre l'objectif de développement durable 7 « garantir l’accès à une énergie propre et d’un coût abordable. »Dans le cadre de ce projet, l’UNOPS et le PNUD organisent un Forum du Secteur Privé à l'hôtel Silmandé le 09 octobre, afin de promouvoir une forte participation et une contribution accrue des entreprises locales à la transition énergétique du pays. Le secteur privé peut stimuler l'esprit d'entreprise, créer des chaînes de valeur et favoriser le développement économique local. Cependant, les réglementations nationales et l'insuffisance des financements pourraient empêcher le secteur privé de s'engager dans ce domaine de manière plus dynamique.Réunissant plus de 125 parties prenantes du secteur de l'énergie renouvelable au Burkina Faso, le forum a pour objectif de créer un espace d'échange entre les membres de l'Etat, les entreprises locales et les acteur·rice·s concerné·e·s afin de mutualiser leurs efforts pour améliorer l'accès à l'énergie de la population burkinabé.Pendant une journée du forum, le gouvernement de transition présentera sa vision, son rôle et les opportunités offertes par l'Etat pour l'électrification rurale à travers les mini-réseaux et les entreprises locales présenteront leurs défis et leurs besoins pour une compréhension mutuelle. Les institutions de microfinance et les banques sont également invitées au forum pour discuter des solutions financières existantes dans le secteur de l'énergie renouvelable au Burkina Faso. Genevieve LEFEBVRE, répresentante de l’UNOPS au Burkina Faso, a ajouté: « Ce forum nous permettra d'identifier les défis auxquels sont confrontées les entreprises locales, mais aussi d'élargir leurs possibilités de contribuer à la transition énergétique du Burkina Faso, en proposant des opportunités de financement ainsi que des technologies innovantes dans le domaine des mini-réseaux.FIN Remarques à l’intention des équipes de rédaction:Coordonnées pour la presse :Pour plus de détails sur ce projet et/ou pour interviewer un.e spécialiste de l’UNOPS, veuillez contacter Juyoung LEE, spécialiste en communication de l’UNOPS en Afrique: juyoungl@unops.org, +221 77 321 88 86.À propos de l’UNOPSLa mission de l’UNOPS consiste à améliorer la qualité de vie des communautés et à aider les pays à instaurer la paix et parvenir à un développement durable. L’UNOPS aide les Nations Unies, des gouvernements et d’autres partenaires à gérer des projets et à mettre en place des infrastructures durables et des processus d’achats responsables de façon efficace. Pour en savoir plus, consultez le www.unops.org/fr et suivez l’UNOPS sur Facebook, LinkedIn, Twitter, Instagram, YouTube et WhatsApp.
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Communiqué de presse
28 août 2024
La Coordonnatrice humanitaire profondément attristée par l’immense perte en vie humaines à Barsalogho, province du Sanmatenga, et appelle à un soutien accru face à la crise humanitaire au Burkina Faso
« La communauté humanitaire est dévastée par cet incident tragique, et aucun mot ne peut véritablement exprimer notre consternation », a déclaré Mme Flore-Smereczniak. « J'adresse mes condoléances les plus sincères et ma solidarité aux familles des victimes et au peuple burkinabè, et souhaite un prompt rétablissement aux blessés. »Les agences des Nations Unies et les partenaires humanitaires, en étroite collaboration et coordination avec les autorités et les services déconcentrés de l’action humanitaire de la région du Centre-Nord, fournissent une assistance d'urgence et le soutien nécessaire aux communautés touchées par ce drame, y compris les soins médicaux et le soutien psychologique.« Nous réaffirmons notre engagement indéfectible à soutenir le peuple burkinabé dans cette période de crise. Les partenaires humanitaires continuent de coordonner leurs efforts pour maximiser l'efficacité de l'assistance fournie à travers le pays, et de veiller à ce que les besoins les plus urgents soient couverts », a souligné la Coordonnatrice humanitaire. « Nous appelons également la communauté internationale à renforcer son soutien afin d’assurer que les populations affectées par la crise reçoivent l'aide nécessaire, car la vie de centaines de milliers de personnes en dépend » a-t-elle ajouté. Cette année, les humanitaires ont besoin de 935 millions de dollars américains pour répondre aux besoins urgents de 3,8 millions de personnes dans plusieurs localités du pays, en particulier les plus vulnérables. A quatre mois de la fin de l’année, seulement 34% de ce montant a été reçu. Bien que plus de 1 million de personnes aient déjà reçu de l’aide humanitaire depuis le début de l’année 2024, un soutien urgent et accru est indispensable, afin que personne ne soit laissée pour compte.
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